Notes tirées du journal l'Évangéline
En 1934 Livain suit des cours agricoles à Fredericton.
En octobre 1936 Livin est élu 1er vice-président de l'ACJC (Association catholique de la jeunesse canadienne-française) à Caraquet .
En septembre 1937, Livin est employé chez Antoine Gagnon, agronome, à Shédiac.
En 1938, Livin Cormier est infirmier au Sanatorium de Vallée Lourdes.
En novembre 1950, Livin est élu président de l'Association des fermiers du Gloucester.
En janvier 1951, on réorganise les Cercles d'études à Sainte-Anne-du-Bocage. Livin Cormier est élu président.
Livin est un des directeurs du premier comité de l'ACJC de Sainte-Anne-du-Bocage crée en mars 1951.
En septembre 1951, Livin, alors gérant des Peintres de chez nous et secrétaire de l'Association des cultivateurs du Nouveau-Brunswick, est nommé organisateur de la campagne pour la Société du Bien-être de l'enfance.
En novembre 1951, Livin assistait au Congrès régional de l'Association de cultivateurs à Petit-Rocher.
En avril 1952, Livin, gérant de peintres de chez nous, obtient le contrat de peinturage du Foyer Saint-Camille à Bathurst. Il a peinturé les églises de Lamèque, Paquetville, Saint-Isidore, Belledune, Saint-Paul, Sainte-Rose, Miscou, Petite-Rivière, Pokemouche, Bertrand ainsi que les écoles de Néguac, Paquetville, le collège Don Bosco de Jaquet-River, le Sanatorium de Vallée-Lourdes, le Couvent de Caraquet, etc
En juillet 1952, M. et Mme Livin Cormier ont assisté au Congrès de la langue française à Québec.
En novembre 1953, Livin est secrétaire de l'Association de fermiers de Bathurst et Tracadie. Lors d'un réunion à Caraquet on prend comme résolutions d'instituer le crédit agricole, d'exiger que le ministère de l'agriculture traduise ses publications en français et d'embaucher un secrétaire permanent.
En 1954, Livin est membre du comité du festival des huitres de Caraquet.
En juin 1957 on joue une pièce de théatre, L'Économie domestique, à Sainte-Anne-du-Bocage. Les acteurs sont Charles Roy, créateur de la pièce, et Livin Cormier
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Information tirée des cahiers de la Société historique acadienne
En novembre 1962 les membres de la Société historique acadienne faisaient un pèlerinage historique à Caraquet. Livin Cormier et Médard Léger, membres de la Société servaient de guides. Ils avaient identifié quinze points d'arrêt d'intérêt historique et, pour la visite de chacun de ces lieux, ils avaient rédigé un texte racontant l'histoire de chaque lieu. Ce texte de 11 pages fut publié en 1964 dans le quatrième cahier de la revue de la Société. Livin fut élu vice-président de la Société historique acadienne pour deux mandats allant de septembre 1964 à décembre 1966.
En 1966, la Société historique acadienne organisa un voyage historique en France pour une quarantaines d'acadiennes et d'acadiens et de représentants officiels des gouvernements des provinces maritimes, du fédéral et de la Louisiane. Livin Cormier et son épouse Anita étaient du goupe qui allait fêter, avec les descendants acadiens de Belle-Isle-en-Mer, le bicentenaire de leur arrivée sur cette île. Le groupe fut reçu par plusieurs villes de France et surtout par le gouvernement français. Les problèmes de l'Acadie furent longuement discutés avec les ministres et ce fut le début d'une serie de relations importantes entre la France et l'Acadie.
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Information trouvée sur Internet
C’est le 6 avril 1947 que la Coopérative St-Pierre de Caraquet ouvrait ses portes dans un petit magasin qu’elle avait acheté de M. Donat Cormier et qui était connu sous le nom de « Magasin à William. » Le premier conseil fut composé de Martin Léger, président, Livin Cormier, vice-président, Médard Parisé, secrétaire, et des administrateurs Raymond Roy, Pierre Albert, Léo Foulem, Fred G. Chenard, Alban Blanchard et Edmond M. Gionet. . Au cours de son premier exercice financier, la coopérative connut un déficit de 2 998 $. M. Donat Cormier en fut le premier gérant, suivi de M. Livin Cormier qui occupa le poste pendant quelques mois seulement.
Livin Cormier a été peintre en bâtiments et travailleur social. Fervent nationaliste, il était membre de plusieurs associations, dont des sociétés historiques. Il a recueilli de sa propre initiative des récits de vie dans la péninsule acadienne (N.-B.) soit 62 bobines bandes magnétiques (rubans et cassettes), environ 31h. Cette collection est composée surtout de chansons et de morceaux de musique (345 pièces dont 190 chansons); aussi de faits se rapportant aux coutumes, à l’histoire locale, aux récits de vie, etc.