Père* | Augustin Thériault (n. 30 août 1838, d. 16 mai 1924) |
Mère* | Théotiste Boudreau |
Fille* | Marie Gertrude Thériault (n. 2 décembre 1889, d. vers 11 janvier 1890) |
Fils* | Jean Thériault (n. 16 novembre 1890) |
Fils* | Adélard Thériault (n. 30 juillet 1892) |
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Père* | Nazaire Landry (n. 24 février 1842, d. 10 juillet 1929) |
Mère* | Sara Thériault |
Fille* | Christine Landry+ (n. 15 janvier 1894, d. 14 janvier 1970) |
Fille* | Anna Landry (n. 9 décembre 1895) |
Fils* | Joseph Charles Landry (n. 15 septembre 1897, d. 6 mai 1898) |
Fille* | Lauza Landry+ (n. 5 mars 1899) |
Fille* | Cécile Landry+ (n. 14 mars 1903, d. 16 décembre 1965) |
Fille* | Louisa Landry (n. 8 février 1907) |
Fils* | Réginald Landry |
Fils* | Nazaire Landry+ (n. vers 1925, d. avant 21 juin 1999) |
Fille* | Ida Landry |
Fille* | Noella Landry |
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Père* | Octave Gionet |
Mère* | Marcelline Lanteigne |
Fils* | Agapit Gionet+ (n. 3 mars 1883, d. 12 juillet 1934) |
Fille* | Marie Gionet+ (n. 20 septembre 1884, d. 28 octobre 1967) |
Fils* | Augustin Gionet+ (n. 26 juillet 1886, d. 27 juillet 1974) |
Fille* | Bernadette Gionet+ (n. 17 septembre 1888, d. 3 février 1954) |
Fils* | Richard Gionet+ (n. 5 août 1890, d. 11 décembre 1990) |
Fils* | Wilfred Gionet+ (n. 9 septembre 1892, d. avant 18 juin 1999) |
Fils* | Théotime Gionet+ (n. 18 août 1894, d. avant 18 juin 1999) |
Fils* | Nicholas Gionet+ (n. 28 août 1896, d. avant 18 juin 1999) |
Fille* | Imelda Gionet+ (n. 27 septembre 1898, d. 18 juin 1999) |
Fils* | Léonard Gionet+ (n. 30 septembre 1900, d. 11 juillet 1995) |
Fils* | Cyrinus Gionet+ (n. 16 novembre 1901, d. avant 18 juin 1999) |
Fille* | Alida Gionet+ (n. 8 novembre 1903, d. avant 18 juin 1999) |
Fils* | Egilde Gionet+ (n. 21 septembre 1907, d. 30 septembre 1976) |
Fille* | Régina Gionet+ (n. 27 avril 1911, d. 7 mars 2008) |
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:37:46 |
Père* | Fidèle Godin (n. 27 juillet 1835) |
Mère* | Dorothée Pinet (n. 29 avril 1840, d. 1874) |
Fils* | Félix Godin+ (n. 26 août 1888, d. 13 mars 1974) |
Fille* | Christine Godin+ (n. 25 octobre 1889, d. 30 octobre 1946) |
Fils* | Adélard Godin+ (n. 16 août 1891) |
Fille* | Alice Godin+ (n. 14 octobre 1892) |
Fille* | Dorothée Godin+ (n. 17 janvier 1894, d. 30 août 1966) |
Fils* | Alexis Godin+ (n. 19 mars 1895) |
Fils* | Henri Godin (n. 13 septembre 1897) |
Fille* | Anna Godin+ (n. 29 avril 1900, d. 22 septembre 1985) |
Fils* | Théophile Godin+ (n. 4 janvier 1902, d. 30 mars 1997) |
Fille* | Elise Godin (n. 1 septembre 1903) |
Fils* | Alphonse Godin (n. 8 juin 1905) |
Fille* | Marie Godin+ (n. 15 octobre 1908, d. 2 juin 1974) |
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Père* | Romain Léger (n. 20 avril 1833, d. 23 octobre 1908) |
Mère* | Lucille Dugas (n. 27 juin 1831, d. 4 août 1928) |
Fils* | Médard Léger+ (n. 22 juin 1895, d. 1 novembre 1977) |
Fille* | Marie Lucille Léger (n. 19 septembre 1896) |
Fille* | Christine Léger (n. 19 septembre 1896, d. 21 avril 1897) |
Fille* | Cécile Légère (n. 6 mars 1898, d. 16 mars 1941) |
Fille* | Marie Léger+ (n. 15 novembre 1899, d. 26 juin 1979) |
Fils* | Thomas Légère+ (n. 29 décembre 1900, d. 25 juillet 1953) |
Fils* | Michel Léger (n. 8 mai 1902, d. 27 septembre 1984) |
Fils* | Elie Légère+ (n. 29 décembre 1903, d. 28 février 1998) |
Fille* | Suzanne Léger (n. 20 février 1905, d. 11 septembre 1988) |
Fille* | Virginie Léger (n. 17 février 1906, d. 1975) |
Fils* | Raymond Léger+ (n. 11 mars 1907, d. 3 avril 2001) |
Fils* | Joseph Célestin Légère (n. 26 octobre 1908, d. 4 novembre 1908) |
Fille* | Marie Elizabeth Léger (n. 8 juillet 1909, d. 19 juillet 1909) |
Fils* | Célestin Léger+ (n. 17 août 1911, d. 2 août 1992) |
Fils* | Charles Edouard Léger+ (n. 26 mai 1916, d. 5 décembre 2000) |
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Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Fille* | Céline Léger+ |
Fils* | Victor Léger+ (n. 6 janvier 1945, d. 11 mai 2021) |
Fille* | Lucille Léger (n. 6 janvier 1949, d. 1 juin 2009) |
Médard fréquenta la petite école de son patelin et ensuite le Collège de Caraquet où il fit, pendant trois ans, des études commerciales.
Durant la première Guerre Mondiale, Médard s'est enrôlé dans l'armée canadienne comme membre du corps expéditionnaire canadien (CEC). Il fut Caporal (# 3259163) dans le "1st Depot Battalion, New Brunswick Regiment, Saint John" de l'armée canadienne du 12 juin 1918 au 19 juin 1919 travaillant comme traducteur-interprète.
Reprenant la vie civile, Médard déménagea à Moncton en 1920 où il fut embauché comme machiniste aux ateliers du CNR. Après leur mariage, Élizabeth et Médard s'installent à Parkton (banlieu ouest de Moncton) où Médard fut un des fondateurs de la Caisse populaire, propagandiste et premier percepteur-trésorier de la succursale de la Société l'Assomption, et organisateur du scoutisme en plus de gérer la cantine de la salle paroissiale qui servait de salle de spectacle et de cinéma.
Médard prend sa retraite du CNR en 1957 après 37 années de service. Il avait toujours rêvé de retourner vivre dans son village natal et à l'été 1958 il installe la famille à Haut-Caraquet.
Durant toute sa vie, Médard fut passionné d'histoire acadienne. Il fut un des membres fondateurs de la Société historique acadienne. Auteur de nombreux textes sur l'histoire acadienne de 1950 à 1975, certains furent publiés dans les cahiers de la Société Historique Acadienne et dans les journaux Le Voilier et Le Reflet du Nord dont il était un des fondateurs. La grande majorité de ses écrits furent publiés dans le journal L'Évangéline de 1950 à 1971. Des textes en anglais, dont plusieurs chroniques sur l'histoire de la Péninsule Acadienne, furent publiés dans le Bathurst Tribune et le Northern Light de Bathurst. En 1970, il publia Du miel au fiel un petit manuel dans lequel il dénonçait comme injuste et partisane la philosophie générale de l'Ordre de Jacques-Cartier mieux connue comme la Patente.
Dans ces écrits, Médard traitait en plus d'histoire acadienne d'à peu près tout ce qui touchait l'actualité. Il n'hésitait pas à critiquer et à dénoncer ce qu'il considérait injuste ou exagéré. Il exprimait avec ardeur ses préoccupations face au développement rapide de la technologie et à tout ce qui pouvait nuire à l'environnement en général.
Vers 1968, Médard décida d'aller finir ses jours à Tracadie où il loua un petit appartement dans une unité pour personnes âgées. Il y décéda le 2 novembre 1977 à l'âge de 82 ans.
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Caraquet, miettes de son histoire, par Médard Légère (par tranches du 6 au 12 novembre). (p. 4) (Ev. 1953.11.05)
Une 2ième série d'articles par Médard Légère «Caraquet, miettes de son histoire». (p. 4) (Ev.1954.04.07)
2e série d'articles sur Caraquet, par Médard Légère. Dernier numéro le 10 mai. (p. 4) (Ev. 1954.04.24)
Article de Médard Légère: nos paroisses-mères. (p. 5) (Ev. 1955.08.10)
Article de Médard Légère: Nos écoles publiques. (p. 4) (Ev. 1956.01.19)
Article de Médard Légère: Les lois scolaires au N.-B. (p. 2) (ev. 1956.02.02)
Les troubles scolaires de Caraquet, par Médard Légère. (p. 4) (Ev. 1956.06.15)
Éditorial de Médard Légère sur le Bocage. Les Acadiens y furent visités par le Père Bailly de Messein en 1768 puis vers 1872 érigèrent une chapelle en bois rond et écorce. (p. 4) (Ev. 1956.07.24)
Article de Mégard Légère: Chemin de fer de Caraquet. (p. 4) (Ev. 1956.10.01)
Suite de l'article de Médard L. (p. 4) (Ev. 1956.10.02)
Article «Les grands froids» par Médard Légère. Le 6 juin 1876 le havre était encore plein de glace. Provisions épuisées. On avait même marché sur les glaces de Bas-Caraquet jusqu'aux bateaux qui attendaient dans la baie. Le dimanche à la demande des paroissiens le curé fait une procession avec le St-Sacrement sur le bord des caps et le lendemain la glace avait pris le large. (p. 4) (Ev. 1957.02.20)
Article Médard Légère: L'église a cent ans. Le 27 juin 1853 le Rev. Joseph Paquet reçoit la permission de Mgr Connolly, évêque de St-Jean de construire. La première église de Cooke commencée en 1818 et ouverte au culte en 1821. La construction commence le 18 mai 1857. Bénédiction de la pierre angulaire le 16 août 1857 par le Père Victor Clérouin. (Ev. 1957.05.08)
Article Le Feu du mauvais temps, par Médard Légère. (p. 4) (Ev. 1957.06.04)
Article de Médard Légère: Le monument eu Bocage. (p. 6) (Ev 1957.07.25)
Article de Médard Légère: Le grand feu de Miramichi. (p. 4) (Ev. 1957.10.01)
Article de Médard Légère: La morue. (p. 4) (Ev. 1957.11.05)
Biographie
Médard naquit dans la maison de son grand-père maternel à Haut-Caraquet. Il fit des études commerciales au Collège de Caraquet. Pendant la première Guerre Mondiale, il fut Caporal (# 3259163) dans le «1st Depot Battalion New Brunswick Regiment » de l'armée canadienne du 12 juin 1918 au 19 juin 1919 travaillant comme traducteur-interprète. Reprenant la vie civile, Médard déménage à Moncton en 1920 où il fut embauché comme machiniste aux ateliers du CNR. Il allait y demeurer 40 ans.
Après leur mariage en 1940, Médard et Élisabeth s'installèrent dans un logement au coin des rues Cedar et Mountain Road à Parkton. Suite à la naissance de leur deuxième enfant Victor, en 1945, Médard construisit une maison sur la rue Winnipeg à 5 minutes de son travail. Cette rue se trouvait, à l'époque, à la limite ouest de la ville de Moncton.
Médard a toujours préféré les quarts de travail du soir car il pouvait profiter de ses journées pour s'adonner à ses passe-temps et activités préférés. D'abord il aimait organiser. On le retrouve comme fondateur de la Caisse populaire de Parkton et comme organisateur paroissial. Il s'implique dans plusieurs associations à vocation sociale. Instruit et doué pour l'écriture, à une époque ou beaucoup de ses compatriotes savent à peine lire et écrire, il se donne souvent le rôle de dirigeant et n'hésite pas à imposer ses idées ce qui le rend parfois impopulaire.
Médard prit se retraite en 1957 après 40 années de service. Alors âgé de 63 ans, il était veuf et père de deux enfants d'âge scolaire, Célina, 14 ans et Victor, 12 ans, et de Lucille handicapée intellectuelle, âgée de 8 ans. Il avait toujours rêvé de retourner vivre dans son village natal de Haut-Caraquet. En juin 1957, il fait transporter le corps de son épouse à Bertrand pour inhumation au cimetière paroissial et en juillet après avoir vendu la maison familiale, rue Winnipeg, il y déménage la famille. La famille est éparpillée chez des parents pour l'été en attendant qu'il rende habitable, une petit maison en construction achetée au préalable. L'été est difficile pour les enfants qui se sentent dépaysés.
Une fois installés dans la maison à l'automne, les deux plus vieux prennent le chemin de l'École consolidée de Bertrand. L'avantage du déménagement pour les enfants fut de leur donner la chance de faire des études secondaires en français à l'école public, ce qui était impossible à l'époque à Moncton. Médard, ayant comme seul revenu, sa pension, n'avait pas le moyen de leur payer des études.
La vie dans la petite maison fut de courte durée. Médard, peu doué pour administrer ses finances personnelles, vit vite s'envoler dans des investissements futiles, l'argent qu'il avait reçu pour la vente de sa maison à Moncton. Il a donc fallu abandonner la nouvelle maison après un peu plus d'un an. Célina fut accueillie dans la famille de Livain et Anita Cormier de Sainte du Bocage, amis de Médard. Victor fut inscrit au juvénat des pères Eudistes à Bathurst et Lucille fut placée en institution à Saint John. Quant à Médard, il prit chambre et pension chez Émile Dugas à Sainte Anne du Bocage pour quelques années et acheta ensuite une petite maison dans le voisinage. En 1970, il publia un livre Du miel au fiel dans lequel il dénonçait comme injuste et partisane la philosophie générale de l'Ordre de Jacques-Cartier mieux connue comme la Patente.
Après quelques années dans sa petite maison de Sainte-Anne-du-Bocage, Médard décida d'aller finir ses jours à Tracadie où il loua un petit appartement dans une unité pour personnes âgées. Durant les dernières années de sa vie, il partageait son appartement avec une compagne, Cécile Strange, veuve du vice-consul du Danemark. En octobre 1977, il fut opéré pour une hernie, opération mineure qui guérit dans quelques jours. Il s'était convaincu au préalable qu'il souffrait d'un cancer terminal et qu'il allait en mourir - allant même jusqu'à écrire sur un document et à l'arrière d'une photo - Médard Léger (1995-1977) - il se mit dans un état tel que son coeur de 82 ans n'a pu tenir le coup et il décéda le 2 novembre. À part un problème de prostate qui avait pris, en 1974, des proportions démesurées puisqu'il était certain d'en mourir, Médard jouissait d'une excellente santé physique et était en très grande forme. À 82 ans, on lui en aurait donné à peine plus de 55.
Durant toute sa vie, Médard fut passionné de petite histoire et de généalogie acadienne. Il comptait parmi ses grands amis le généalogiste acadien Placide Gaudet qu'il visitait souvent à Shédiac où celui s'était retiré. Il fut un des membres fondateurs de la Société historique acadienne. Il écrivit de nombreux textes sur l'histoire acadienne. Plusieurs furent publiés principalement dans l'Évangéline, le Northern Light, le Voilier et le Reflet du nord dont il était un des fondateurs. Parfois journaliste à la pige et chroniqueur pour ces journaux il traita d'autres sujets tels la pêche, l'économie régionale, etc.
Notes
Médard appartenait la batture d'huître # 22 90 dans la baie de Caraquet.
LEGER--BOURQUE
Many former Caraquet and Gloucester County friends of Mr. J. Médard Leger, son of former County Counciller Louis R. Leger and Mrs. Leger of Upper Caraquet will be much interested in his marriage, which took place at the Assomption Cathedral, Moncton, on October 5th, when his bride was Miss Elizabeth Bourque, formerly of Scoudouc. The ceremony was performed by Rev. C. LeBlanc and the witnesses were Messrs. Aimé Bourque, brother of the bride and Thomas Leger, brother of the groom. Both the principals have been residents of Moncton for some years, the groom occupying a responsible position with the C.N.R. Following the ceremony the happy couple left on a short honeymoon trip to the groom's old home at Upper Caraquet.
Mr. Leger was a long-time employee of CN in Moncton and since his retirement, had lived in Tracadie and area.
A veteran of the First World War, Mr. Leger was also a Third Degree member of the Knights of Columbus.
Mr. Leger was a journalist and contributed many articles to newspapers including l'Evangeline and The Northern Light over the years. His research into Acadian History resulted in numerous articles as well as family genealogy.
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:29:12 |
Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:37:22 |
Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
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Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Elle était religieuse chez les soeurs de la Congrégation Notre Dame.
Au printemps 1926, lorsque le champion coureur mondial, John E. Miles, arriva chez lui à Sydney, NE, après avoir remporté la médaille de Boston le 19 avril 1926, le maire McCinnell lui présenta une adresse sur parchemin magnifiquement ornementé par Sr Ludovicus, religieuse du couvent des Saints Anges. Cette Soeur Ludovicus était Cécile Légère, la fille ainée de Louis R. Léger de Caraquet. Le journal de Sydney qualifie son travail comme un chef d'oeuvre d'enluminure. Sous les armes de la cité et la feuille d'érable, on pouvait lire l'inscription: '' An address of the City of Sydney to John C. Miles of Sydney Mines in recognition of his victory in the Boston Marathon on April 19, 1926, when he defeated runners of world wide fame and established a new wolrd's record.'' (Notes traduites tirées du Northern Light du 20 mai 1926)
Elle est décédée à l'infirmerie de la Congrégation Notre-Dame à Montréal. Le couvent des Saints-Anges de Sydney, N.E. possédait une magnifique collection de ses peintures, des paysages du Cap Breton et des sujets religieux.
L'Évangéline - 1941.03.27 Décès récent de soeur St-Louis, 40 ans, fille de Louis Légère, à l'infirmerie de la Congrégation Notre-Dame à Montréal.
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:37:22 |
Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Fils* | Gabriel Godin+ |
Fils* | Marcel Godin (n. 6 septembre 1928, d. 5 mars 1999) |
Fille* | Cécile Godin+ |
Fille* | Raymonde Godin+ (n. 24 mai 1931, d. 28 mai 1986) |
Fils* | Ronald Godin+ |
Fille* | Florence Godin (n. 21 avril 1934, d. 8 mai 2015) |
Fils* | Rodolphe Godin |
Fille* | Claudette Godin+ |
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:37:22 |
Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Fils* | Raymond Léger+ |
Fils* | Clarence Léger+ (n. 22 novembre 1941, d. 9 mai 1992) |
Fils* | Jean-Paul Léger+ |
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Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
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Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Fille* | Joan Legere+ (n. vers 1942, d. 2 juillet 2007) |
Fils* | James Legere+ (n. 5 mai 1942, d. 7 août 2012) |
Fille* | Shirley Legere+ |
Fille* | Janet Legere+ |
Fils* | Michael Legere (n. vers 1947, d. 3 novembre 1997) |
Fils* | Chester Legere+ (n. 27 juillet 1952, d. 27 décembre 2013) |
Eli left home at an early age, working in the United States as a pilot and a heavy equipment operator building the Colorado Dam. Returning home, he learned as a blacksmith the welding trade, working most of his life for Nova Scotia Body Building. / Jeune homme Élie est parti travailler aux États-Unis où il a travaillé comme pilote et opérateur de machinerie lourde à l'érection du Colorado Dam.
De retour chez lui il a travaillé comme forgeron et a appris le métier de soudeur. Il a travaillé la majorité de sa vie pour Nova Scotia Body Building à Halifax. Il a vécu quelques années à Abbotsford, CB et revint à Halifax.
Élie et Helen sont venus en voyage de noces à Haut-Caraquet en même temps que Michel, son frère et son épouse Frances.
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Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:37:22 |
Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Résidence: L'Annonciation, QC
Le journal l'Évangéline du 8 novembre 1928 rapportait qu'elle avait été opérée pour l'appendicite à l'Hôtel-Dieu de Tracadie.
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:37:22 |
Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Fils* | Joseph Léger+ (n. vers 1933, d. 28 mars 2011) |
Fille* | Jeannie Leger |
Fille* | Joyce Léger+ |
Fils* | Kenneth Léger+ |
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:37:22 |
Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
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Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:37:22 |
Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Fils* | Denis Léger+ |
Fille* | Murielle Léger+ |
Fille* | Rosemonde Léger+ |
Fille* | Marie Reine Léger+ |
Fils* | Joseph Roland Léger+ |
Résidence; Haut-Caraquet, NB et à partir de 1960, Châteauguay, QC
Le 9 avril, dimanche à Bertrand, 142 membres (la plupart dans la jeune ligue du Sacré Coeur) (président Ernest Godin; vice-président Thomas Poirier, secrétaire Célestin Légère. (1932.04.16)
Léger Motors and Electric Services, compagnie enregistrée (Gazette Royale 7 mai) par deux mécaniciens Célestin et Charles-Édouard Légère de Haut-Caraquet, partenaires depuis le 3 juillet 1940. Réparation d'automobiles, brochage électrique des maisons, vente d'appareils radio (Ev. 1952.05.13).
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Père* | Louis Léger (n. 21 avril 1872, d. 25 avril 1951) |
Mère* | Suzanne Cormier (n. 20 décembre 1867, d. 5 octobre 1953) |
Fils* | Louis Léger+ (n. 5 septembre 1940, d. 13 mai 1984) |
Fille* | Micheline Léger |
Fille* | Diane Léger+ |
Fille* | Thérèse Léger+ |
Fille* | Louise Léger (n. 16 juillet 1949, d. 18 août 1965) |
Fille* | Rachelle Léger+ |
Fille* | Marcelle Léger+ (n. 5 octobre 1951, d. 18 août 1997) |
Fille* | Monique Léger+ |
Fille* | Suzanne Léger |
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:37:22 |
Père* | Hyppolite Foulem |
Mère* | Vitaline Blanchard |
Fille* | Bernadette Cormier (n. 29 janvier 1906, d. 15 septembre 1911) |
Fille* | Eustelle Cormier (n. 14 mars 1907, d. 18 mai 1918) |
Fille* | Delia Cormier (n. 17 octobre 1909, d. 24 décembre 1979) |
Fille* | Alexina Cormier+ (n. 7 mars 1912, d. 10 octobre 2007) |
Fils* | Augustin Cormier+ (n. 1 avril 1916, d. 27 janvier 2009) |
Fils* | Yvon Cormier+ (n. 5 août 1918, d. 16 mai 1999) |
Fils* | Julien Cormier (n. 2 février 1924, d. 22 mai 1950) |
Dernières Modifications | 30 novembre 2024 07:37:46 |
Père* | Fidèle Godin (n. 27 juillet 1835) |
Mère* | Dorothée Pinet (n. 29 avril 1840, d. 1874) |
Fils* | Henri Godin+ (n. vers 1889) |
Fille* | Délia Godin+ (n. vers 1895) |
Fille* | Soeur Hermina Godin (n. 2 juin 1895, d. 6 juin 1947) |
Fils* | Joseph Olivain Godin (n. 30 juillet 1896, d. 7 septembre 1896) |
Fille* | Laurette Godin+ (n. 12 novembre 1898, d. 5 mars 1984) |
Fille* | Angélique Godin (n. 13 décembre 1900, d. avant 21 octobre 2010) |
Fils* | Alphonse Godin (n. vers 8 septembre 1902, d. 21 avril 1903) |
Fille* | Marie Godin (n. 20 mars 1904, d. 20 mars 1904) |
Fils* | Frère Patrice Godin (n. 15 mars 1905, d. 21 octobre 1982) |
Fille* | Soeur Marguerite Godin (n. 28 février 1910, d. 18 décembre 1996) |
Fille* | Jeanne Godin (n. 3 avril 1912, d. 20 février 2005) |
Fille* | Catherine Godin (n. 4 octobre 1913, d. 26 octobre 1992) |
Fille* | Soeur Julienne Godin (n. 14 février 1915, d. 21 mai 1981) |
Fille* | Soeur Suzanne Godin (n. 21 avril 1918, d. 21 octobre 2010) |
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Père* | Richard Branch |
Mère* | Isabelle Black |
Fille* | Soeur Victoria Branch (n. 14 juillet 1896, d. 20 juillet 1991) |
Fille* | Imogène Branch+ (n. 19 novembre 1897, d. août 1975) |
Fille* | Régina Branch+ (n. 1 mai 1899, d. 17 octobre 1971) |
Fils* | Richard Branch+ (n. 24 novembre 1900, d. 3 mai 1970) |
Fille* | Mary Branch (n. 22 avril 1902, d. 18 janvier 1972) |
Fille* | Kathleen Branch (n. 17 juin 1903, d. septembre 1972) |
Fille* | Edith Branch+ (n. 20 juin 1904, d. 1 janvier 1999) |
Fils* | Joseph Branch+ (n. 1 septembre 1906, d. 24 avril 1990) |
Fils* | Rev. James Branch (n. 20 novembre 1907, d. 4 novembre 1980) |
Fils* | Peter Branch+ (n. 23 février 1909, d. 23 mai 1969) |
Fille* | Christine Branch (n. 20 avril 1910, d. 12 septembre 1981) |
Fille* | Winnifred Branch+ (n. 23 septembre 1913, d. 12 septembre 1982) |
Fille* | Patricia Branch+ (n. 17 mars 1915, d. 6 janvier 1960) |
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Père* | Angus J. S. Branch (n. vers 1874, d. 7 novembre 1939) |
Mère* | Victoire Cormier (n. 23 août 1874, d. 8 mars 1953) |
Fille* | Marie Pinet (n. 1929, d. 1929) |
Fille* | Edith Pinet+ (n. 1930, d. 21 septembre 1981) |
Fille* | Ethel Pinet+ (n. 27 avril 1932, d. 23 décembre 2015) |
Fille* | Winnifred Pinet+ (n. 20 mai 1933, d. 5 février 2008) |
Fille* | Betty Pinet+ (n. 1934, d. 24 mars 2011) |
Fils* | Billy Pinet+ (n. 1936, d. 2 avril 1989) |
Fils* | Denis Pinet+ (n. 30 juin 1938, d. 12 novembre 2007) |
Fille* | Kathleen Pinet+ |
Fille* | Jean Pinet+ (n. 1941, d. 3 août 1989) |
Fille* | Patricia Pinet+ |
Fils* | Raymond Pinet (n. 2 avril 1947, d. 2 décembre 1948) |
Édith, appelée affectueusement, Garde Pinet, reçut son brevet d'infirmière en1928 l'année de son mariage. Tout en élevant sa nombreuse famille, elle allait aux maisons avec sa petite valise noire apporter des soins aux malades. Elle faisait elle-même ses remèdes et prenait soin d'écouter les malades. On l'a connaît surtout comme sage-femme, mettant au monde plus de 3000 enfants dans la région de Paquetville/Bertrand (31 de 1931-1938 et 20 de 1949-1951) dont, entre autres, la chanteuse Édith Butler qui porte son nom.
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Dans le livre Silhouettes acadiennes publié en 1981 et signé Thérèse Lemieux et Gemma Caron on peut lire la biographie suivante:
Edith Branch Pinet
Edith voit le jour à Burnsville, dans la paroisse de Paquetville au Nouveau-Brunswick, le 20 juin 1904. Issue D'une famille anglophone de treize enfants, elle est la fille d'Angus Branch, garde-forestier originaire de Bathurst et de Victoire Cormier, institutrice, née à Caraquet. À douze ans, elle passe déjà dans le monde des adultes et commence à travailler comme cuisinière dans un chantier de bûcherons, cela va sans dire, dans des conditions de travail peu favorables à une jeune adolescente. Ayant une quatrième année de scolarité, elle ne peut s'attendre à un travail plus valorisant; c'est alors qu'elle décide de continuer ses études primaire, avec l'ambition de devenir infirmière. Édith s'inscrit à l'école d'infirmières de Saint-Jean d'Iberville au Québec (base militaire), seule école où le brevet du cours élémentaire n'est pas exigé. Par contre le bilinguisme est le critère de base pour être admise et fort heureusement Édith est bilingue. En 1924, elle y devient donc étudiante à plein temps. Une épidémie de fièvre typhoïde et diphtérie, fait rage dans le milieu à cet époque. Édith est atteinte par ces terribles maladie et doit interrompre son cours d'infirmière pendant une période d'au moins six mois. Elle reprend par la suite ses études avec beaucoup plus d'intensité et décroche un diplôme en 1928. Mademoiselle Branch revient durant cette même année dans son coin de pays à Burnsville, près de Paquetville dans le comté de Gloucester.
Peu de temps après son retour, elle unit sa vie à celle de William Pinet, entrepreneur forestier de Trudel; dans ce foyer, onze enfants verront le jour. Édith devra donc mener de front deux carrières: celle de mère de famille et d'infirmière. En ces années, seul un médecin résidant à Caraquet, à douze milles de Trudel, peut desservir la population de cette localité. La jeune infirmière tente donc de suppléer à cette insuffisance de services et se dévoue sans compter aux soins de ses concitoyens.
Ce sont les accouchements qui l'accaparent davantage. Édith trouve parfois les heures longues et fatigantes. C'est à l'époque de la revanche des berceaux, les naissances sont nombreuses surtout au moment de la pleine lune; c'est à cette période du mois que les bébés se donnent rendez-vous pour venir au monde. Après autant d'heures au service de ses parturientes, elle revient dans son foyer avec un sentiment de satisfaction et de devoir accompli. Garde Pinet a vu naître toute une population, plus de trois mille enfants parmi lesquels plusieurs se sont distingués, citons entre autres la très populaire chanteuse acadienne Édith Butler, laquelle on a bien voulu prénommer Édith en l'honneur de son infirmière. Madame oeuvre toujours en femme clair-voyante et avisée; l'éloignement l'oblige à fabriquer les onguents et les pommades qui serviront à panser les plaies de ses pauvres patientsé à certains moments, sa résidence se convertit en véritable clinique.
À soixante-dix ans, cette infirmière dévouée ne peut se détacher de la profession et compte toujours s'occuper des malades; elle reçoit régulièrement ses vieux patients, qui au moindre malaise, viennent la consulter et trouver une oreille attentive à leur problèmes. En 1978, Madame Pinet souffre d'un cancer intestinal, et doit subir une intervention chirurgicale. Elle est convaincue que l'on peut vaincre le cancer. Par ce témoignage, elle veut rassurer et encourager les personnes qui sont atteintes de ce mal du siècle. On reconnaît de partout, ses mérites pour son dévouement et son remarquable travail au plan socio-humanitaire. Des témoignages d'appréciation lui viennent de toutes parts tant d'organismes gouvernementaux que régionaux. Parmi les décorations les plus prestigieuses dont elle a été l'objet, ciotn entre autres la médailles de l'Ordre du Canada. Membre honoraire de l'Association des infirmières autorisées du Nouveau-Brunswick, elle a été invitée à l'inauguration officielle du CBC (Canadian Broadcasting Corporation) au même titre que le Sénateur Muriel Ferguson et le réputé écrivain Antonine Maillet.
Madame Pinet continue sa vie sereine et conserve ce sourire qui fait son charme. Elle apprécie les honneurs qui lui ont été décernés. C'est dans la dignité et le respect que son nom s'inscrit dans le coeur des gens de son milieu.
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Une biographie autorisée d'Édith, La vie au bout des doigts fut publiée en 1988 par Jeannine Landry-Thériault.
Les détails suivants sont tirés de ce livre:
À onze ans Édith rêvait d'aller au couvent de Caraquet comme ses trois soeurs plus âgées. Elle voulait un avenir prometteur, une carrière. C'était le tour de sa soeur Kathleen, d'un an son aînée d'y aller, les parents n'ayant pas les moyens de payer pour les deux. Comme Kathleen n'était pas intéressée aux études, Édith a cru son avenir assuré. Avec l'argent qu'elle s'était ramassé à faire des grands ménages et des travaux des champs, elle s'était préparé une trousseau, vêtements, brosse à dents, mouchoir, brosse à cheveux, peigne, etc qu'elle avait identifiés avec les initiales E.B. et rangés dans une valise noire prêt à partir pour le couvent. À la dernière minute, Kathleen décide d'aller au couvent et hérite du trousseau. Édith dut se résigner à aller travailler comme cook du camp de son frère Richard pour 5 dollars par mois. Elle dormait dans un coin du camps près de la cookerie, une couverture en laine grise la séparant des hommes. Au camp Édith continue ses études et supervise ceux de son jeune frère Joe qui y travaille aussi. Richard, à tous les quinze jours, apporte les devoirs à sa mère pour être corrigés. Ainsi Édith et Jos apprennent l'histoire, la grammaire française et anglaise et les mathématiques.
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Le village de Paquetville a reconnu Édith Branch-Pinet comme une citoyenne des plus distinguées. Elle est membre du Salon de la renommée avec sept autres de ses compatriotes. Au Salon aménagé dans l'édifice municipal on trouve une photo d'Édith ainsi qu'un texte qui se lit comme suit:
Édith B. Pinet
Édith (Branch) Pinet est née à Burnsville dans la paroisse de Paquetville le 20 juin 1904. À 20 ans, elle réalisait son rêve, en s'inscrivant en nursing à Saint Jean d'Iberville au Québec pour obtenir en 1928 son brevet d'infirmière. Son rôle de sage-femme fut une de ses occupations principales. Son sourire, sa disponibilité, sa douceur et sa compréhension ont réconforté beaucoup de malades. Les remèdes pour les soins à domicile, elle les faisait elle-même. Psychologue, elle prenait le temps d'écouter tout le monde qui allait la voir. Bien qu'étant une femme avec de nombreuses préoccupations, elle a réussi à inculquer à ses filles l'amour de son métier. On compte 5 infirmières dans sa famille. En 1979, elle fut décorée de l'Ordre du Canada. En 1982, l'O.N.F. tourna un film « Une sagesse ordinaire » qui relate la vie et le travail de Garde Pinet. C'est à cette occasion qu'elle fut nommée Citoyenne honoraire de Paquetville. En 1985, elle reçut un doctorat honorifique en Sciences infirmières du Campus universitaire de Moncton. En mai 1986, le foyer de soins de Paquetville fut nommé en son honneur « Manoir Édith B. Pinet » . Le 4 mai 1988, elle fut décorée du grade de Chevalier de l'Odre de la francophonie et du dialogue des cultures de l'Association internationale des parlementaires de langue française. Sa plus grande contribution a été dans le domaine de la santé en mettant au monde plus de 3000 enfants.
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Père* | Angus J. S. Branch (n. vers 1874, d. 7 novembre 1939) |
Mère* | Victoire Cormier (n. 23 août 1874, d. 8 mars 1953) |
Fils* | James Leclair |
Fille* | Marie Leclerc |
Fille* | Mae Leclerc |
Fils* | Johnny Leclerc |
Fils* | Chester Leclair |
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